Le 8 mars 2017 à 20h, le CPCI organisait son rendez-vous annuel avec les étudiants, sur le Campus en salle de l’Espace EVE.
Du côté du CPCI : 5 membres ont animé cet atelier.
Du coté des étudiants venus nombreux (21 au total), il y avait :
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15 étudiants de Master 1 (dont 12 de l’UPMF Grenoble, 1 de Lyon 2 et 1 de Montpellier)
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5 étudiants en Master 2 (2 de Grenoble, 1 Chambéry, 1 Lyon 2 et 1 Paris 8)
14 d’entre eux étaient en cours de stage.
Nous avions aussi un jeune ingénieur, ami d’étudiants en Master de Psychologie, qui était alors engagé dans le déroulement de la Semaine du Cerveau, et de ce fait intéressé par cette rencontre. Cet atelier est destiné aux étudiants en Psychologie, mais nous l’avons invité à rester.
Nous avons commencé par introduire sur les activités de notre association et sur l’histoire de cet atelier.
Nous avons ensuite engagé nos échanges librement à partir de l’énoncé :
« Un étudiant, un maître de stage, une institution : attentes, rencontre et transmission »
Durant deux heures les échanges ont été riches et fluides au plus près des interrogations des étudiants quant à :
– l’identité professionnelle,
– la question des stages (les difficultés pour en trouver et les difficultés avec les maitres de stage),
– la sélection au cours des études,
– les différentes orientations conceptuelles qui sous-tendent l’organisation des études dans chaque université,
– le statut du psychologue dans le monde du travail,
– le marché du travail,
– la spécificité de la posture du psychologue.
Nous retenons une question qui témoigne de la particularité de notre métier des sciences humaines, en perpétuel remise en question, en perpétuel « apprentissage » :
« Est-ce qu’on se sent prêt après le diplôme ? »
Nous avons pu, semble-t-il, éclaircir leur questionnement quant :
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à la définition de clinicien « tourné/incliné vers le sujet », rappelant surtout notre posture spécifique de reconnaissance du sujet dans son individualité d’être et de liberté psychique. (rappel du Code de déontologie)
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au temps FIR
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au statut de Cadre et notre hiérarchie administrative et non pas médicale
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à la nécessité d’outils et de ressources pour travailler/penser sur sa pratique tout au long de la carrière.